Depuis six ans, le Fonds Spécial Routier du Burkina Faso (FSR-B) accompagne avec constance et détermination le Tour du Faso, confirmant son statut de partenaire institutionnel majeur de la plus grande compétition cycliste de la sous-région. Présent sur l’ensemble des dix étapes de cette 36ᵉ édition, le Fonds traduit, à travers son engagement, la complémentarité entre le sport, la route et le développement national.
Créé pour assurer la construction, la réhabilitation et l’entretien des routes, le Fonds Spécial Routier joue un rôle central dans la politique d’infrastructures du pays. Sa mission première consiste à mobiliser et gérer les ressources financières nécessaires au financement efficace et durable des travaux routiers. Une mission que l’institution remplit avec rigueur, en misant sur la modernisation et la transparence dans la gestion des postes de péage à travers le territoire.
Au fil des années, le FSR-B s’est imposé comme un modèle d’efficacité et de modernité. Ses récentes réalisations, comme le péage moderne de Tintilou sur la Route Nationale n°1 (Ouagadougou – Bobo-Dioulasso) et celui de la Route Nationale n°4 (Ouagadougou – Tenkodogo), illustrent la qualité et le professionnalisme de son travail. Ces infrastructures, plus fluides, plus sûres et plus transparentes, constituent des exemples concrets de l’impact positif du Fonds sur la vie quotidienne des usagers de la route.
Pour M. Victor Yano̱go, Directeur Technique du Fonds Spécial Routier du Burkina Faso, cet engagement s’inscrit dans une logique de développement durable et de responsabilité collective : « Le Fonds Spécial Routier du Burkina Faso est avant tout un instrument de financement des infrastructures routières. Notre mission est de mobiliser les ressources financières nécessaires pour entretenir et améliorer nos routes. Dans cette perspective, la modernisation des péages est essentielle : elle nous permet de justifier le trafic, de réduire les pertes et de renforcer la transparence dans la collecte des recettes. »
L’accompagnement du Tour du Faso n’est donc pas une simple présence institutionnelle ; il s’agit d’un acte de cohérence. Les cyclistes, tout comme les automobilistes, empruntent les mêmes routes ; l’effort du FSR-B est de les maintenir en bon état pour tous. « Notre participation vise aussi à sensibiliser les usagers sur l’importance du paiement régulier des droits de péage, explique M. Yano̱go. C’est grâce à ces contributions que nous pouvons poursuivre nos efforts pour moderniser le réseau routier national. Payer son péage, c’est contribuer au développement du Burkina Faso. »
Le Fonds Spécial Routier ne se limite pas à soutenir le Tour : il en est aussi un symbole de persévérance et de résilience, à l’image des coureurs qu’il accompagne. Cette année encore, l’institution a choisi de parrainer la plus longue échappée, une distinction qui traduit son attachement à ces valeurs : l’abnégation, la résistance et la constance dans l’effort. « Pour réussir une échappée, il faut une route en bon état, mais aussi du courage et de la persévérance, Ces qualités reflètent parfaitement la vision du Fonds Spécial Routier du Burkina Faso. » a confié Victor Yano̱go.
Depuis 2019, soit six années de partenariat fidèle et fructueux, le FSR-B s’impose comme un acteur incontournable du Tour du Faso, mais aussi comme un pilier du développement routier au service de toute la nation. En soutenant les routes et ceux qui les empruntent, le Fonds contribue chaque jour à renforcer la mobilité, la sécurité et la fierté nationale.
Et pendant que la caravane du Tour poursuit son périple à travers le pays, la compétition se poursuit aussi sur le terrain sportif. Ce mercredi, lors de la sixième étape entre Ouagadougou et Pô, le Belge Thimy De Boes s’est imposé au terme d’une course haletante, tandis que Paul Daumont du Burkina Faso conserve fièrement le maillot jaune. Une belle illustration que, sur les routes du Faso, la performance et la détermination vont toujours de pair tout comme le Fonds Spécial Routier du Burkina Faso et le Tour du Faso.
CS Médias
