Le 6 mars 2025, Ignacio Alonso, président de la Fédération uruguayenne de football, a proposé à la FIFA d’étendre la Coupe du monde à 64 équipes pour 2030. Une idée que Gianni Infantino juge « intéressante ». Après le passage à 48 équipes en 2026 (104 matchs), ce saut à 128 matchs vise à inclure plus de nations d’Afrique et d’Asie, tout en dopant les revenus (11 milliards estimés pour 2026). Organisée en Espagne, Portugal, Maroc, plus des matchs en Argentine, Paraguay et Uruguay pour le centenaire, l’édition 2030 fait face à des défis majeurs : logistique (16 stades minimum), fatigue des joueurs (calendrier saturé) et empreinte carbone critiquée. Entre ouverture globale et risque de dilution sportive, le projet divise.
Ousmane Zoungrana
Cs médias