0Depuis l’avènement du MPSR2, le 30 septembre 2022, un vent nouveau souffle sur le Burkina Faso. Sous l’impulsion du Capitaine Ibrahim Traoré, qui a déclaré officiellement le 1er avril 2025 que nous sommes désormais dans une Révolution progressiste populaire (RPP), le pays s’est engagé résolument dans une lutte pour son indépendance totale et l’affirmation de sa souveraineté. 
La RPP, se fixe un programme de développement ambitieux à savoir la modernisation des infrastructures, l’amélioration du système éducatif, le renforcement des services de santé, la construction de routes et le développement industriel entre autres.
Parallèlement, la sécurisation du territoire reste une priorité absolue. Ainsi donc, au-delà des mots, des actions sont déjà visibles sur le terrain, et plusieurs secteurs ont « goûté » à cette révolution. Même le sport qui était souvent rangé aux oubliettes dans les programmes politiques des différents gouvernements, occupe aujourd’hui une place importante dans la vision du Capitaine IB.
Malgré la priorité du moment qui demeure sans conteste la lutte contre le terrorisme, le président du Faso ne cesse de démontrer son engagement pour la relance du sport burkinabè. En témoigne la mise en place de l’Initiative présidentielle pour la Relève et la promotion de l’élite sportive (IP-RELIS), qui vise à offrir au peuple burkinabè des infrastructures sportives modernes, de qualité et durables. Aussi, à travers ce projet d’envergure nationale, les plus hautes autorités réaffirment leur volonté de faire du sport un puissant levier de développement, d’inclusion sociale et de création d’emplois. C’est dans ce cadre qu’est intervenu, le 8 mai dernier à Kaya, le lancement de la construction de 13 académies sportives dans les 13 régions du pays.
A cela, s’ajoutent la réalisation en cours d’un stade de 15 000 places à Bobo-Dioulasso, et d’un autre qui sera construit prochainement à Koudougou. Egalement, la réhabilitation du stade du 4-Août qui a connu des difficultés de par le passé, est en phase de finition grâce à l’implication personnelle du chef de l’État.
En plus des infrastructures sportives, le capitaine Ibrahim Traoré, toujours dans sa vision, n’hésite pas à prodiguer des précieux conseils aux différents sportifs quand il le faut, et à motiver les athlètes à donner le meilleur d’eux-mêmes. C’était le cas lors de la présente édition de la Coupe du Faso où les primes ont été doublées.
Bien entendu, cette dynamique repose sur un travail collectif des différentes structures notamment la Fédération burkinabè de football (FBF), avec à sa tête le colonel Major Oumarou Sawadogo, qui depuis son arrivée, tente de redonner une autre image à la FBF, loin des guéguerres. Mieux, bon nombre de partenariats et sponsors ont été obtenus grâce à cette nouvelle dynamique enclenchée par le ministère des Sports, le Fonds national pour la promotion du sport et des loisirs, l’ambassadeur pour le sport… Tous se donnent la main, avec une vision claire et un objectif précis.
Fort de toutes ces avancées, nous pouvons affirmer sans ambages, que la révolution tant attendue dans le domaine sportif est en train de s’opérer pour le grand bonheur des Burkinabè. Toute chose, qui est à saluer, car dans ce contexte de défis multiples pour le pays des hommes intègres, le sport reste un puissant levier de cohésion, de fierté et d’espoir.
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